Ma conclusion scientifique.
Ce voyage, sur le toit de la planète, je l’attendais depuis plus de 45ans.
Alors, pour lui donner le caractère d’expédition mérité par une si longue attente, j’ai utilisé mes compétences de Professeur scientifique de l’Education Nationale et choisi pour sujet de réflexion, en relation avec la problématique actuelle:
le réchauffement de la planète qui conduit à la fonte des glaces.
Durant notre absence un voilier est venu mouiller à côté de nous.
La fin du voyage est proche, il est temps de passer à l’action.
La Fédération des Marins
de Gironde & Gascogne,
en ma qualité de scientifique, m’ayant missionné pour étudier le réchauffement de la planète qui conduit à la fonte des glaces, il est pour moi impératif d’agir rapidement et
de mesurer
la température de l’eau.
Satisfaire l’objectif de mon expédition polaire devient une urgence pour formuler mes conclusions scientifiques sur LA question :
"Fait-il encore suffisamment froid, pour que les ours blancs puissent manger les esquimaux glacés?"
À Longyearbyen, on y mange de la baleine, du phoque, du renne ; pas d’ours, il n’y en avait pas à la carte ; et,
la seule étude qui puisse être menée sur la fonte des glaces,
se limite à celle de la vanille aux baies rouges.
Maintenant que j’ai vu comment l’homme, polaire contemporain, vit sous la lumière du soleil de minuit dans ces latitudes hostiles, je peux retourner dans la nuit du vieux monde, usé par des générations hommes.
Je peux revenir dans ce monde torturé qui cri à la face des hommes
sa souffrance,
comme le fer à la meule.
Mais l’homme est sourd,
car ce qu’il aime, l’homme,
ce n’est pas la nature,
c’est la terre domestique.
Une vidéo a été faite de l’expérience scientifique, depuis,
elle fait le tour de la planète sur le net.